Marc Président nous attend de pieds ferme : minibus en place, bonbons préparés! 

Le minibus est chargé avec à son bord Rémy, Mus, Marc, Manu, Marion, Seb, Marina , Alex et Charline complété par Catherine, Sophie et Pierre dans la voiture : le week-end commence.

Tournées de bonbons, de bières et de jet 27 dans le mini bus, on est bien : ça papote, ça fait connaissance, ça rigole, ça roupille et ça conduit, le tout accompagné de gros flocons de neige. Arrivés sous un froid glacial à Dijon, une nuitée à l’hôtel pour être frais et dispo pour repartir demain et afin d'atteindre la destination finale METABIEF.

Au petit matin, les routes sont gelées et/ou enneigées, on prend l’itinéraire bis pour éviter Poligny et donc sa fromagerie mais on se rattrapera à METABIEF.

Rémy, transformé en pilote de voiture sur glace et neige, nous amènera à bon port pour que nous puissions nous équiper.

De là, après un passage obligé à la fromagerie du coin nous nous rendons en Suisse et plus précisément dans la Vallée de La Joux. Une fois sur place, nous retrouvons Sancho et Julien, nos guides, on chausse les skis et les raquettes sous la neige et le froid, et nous voilà parti avec nos sacs à dos, prêt à en découdre dans les montées comme les descentes….

Nous sommes alors tous plongés dans des paysages magnifiques, avec la neige qui scintille, les arbres tout blancs et un calme ….. En pleine nature, on oublie vite les tracas et soucis parisiens……”. On a l’impression d’être seuls au monde. L’objectif de la première demi-journée est d’atteindre notre refuge, la cabane du Cunay, situé à 1567m. Après quelques heures de grimpette nous atteignons enfin la cabane. Nous réalisons très vite que la nuit sera fraîche étant donné qu’il n’y a pas de chauffage dans notre dortoir ! A notre grande joie, une boisson chaude auprès du poêle nous attend dans la salle commune (merci Sancho et Julien!). Nous décidons ensuite, armés de nos frontales, de chausser à nouveau nos skis et d’attaquer les descentes. Un grand moment pour certains… Le soleil se couche, nous avons la sensation d’être privilégiés de pouvoir skier la nuit tombante. Un dernier petit effort et nous y voilà, un dîner bien chaud nous attend. Nous sommes très vite récompensés par une bière mais aussi des alcools locaux (Ponsec et Macvin), et surtout un excellent plateau de fromages et charcuteries. Un grand merci à Sancho pour cet excellent repas. Au grand dam de certains, il n’y a pas d’absinthe mais heureusement, l’alcool de sapin les réconfortera ! La fatigue nous gagne et nous joignons nos dortoirs (à 23h mais certains vous dirons 3h…). Toutes les stratégies sont alors bonnes pour passer passeront nuit la moins froide possible (et la moins bruyante…).