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Le maxi cross de Bouffémont : un cross avec des MAXI dénivelés
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1 Mars 2017 - Amani

25 et 26 février 2017

 

Le maxi cross de Bouffémont s'est déroulé sur deux jours et plusieurs courses ont été proposées : un parcours de 10 km, de 25 km, de 42 km et une marche nordique. Le club s'est positionné sur les 10 et 25 km (certains me diront non ! 25,420 km !)

 

Allez, on va dans le vif du sujet avec nos impressions, tout d’abord l’équipe du 25 km et celle du 10km.

 

 

Voici un topo sur les impressions des uns et des autres sur ce 25,5km (oui oui, et même 25km420 sur mon GPS) et ses 1091m D+ (cf. le graphique officiel du profil du parcours)

 

Clément (1h58, 6e au scratch et 4e SEM, récompensé par l’organisation)

 

Mal placé au départ, je n'ai pas joué la course au panier garni en haut de la côte du cimetière :-( Le départ fut rapide, mais je me suis placé dans les 15 premiers assez vite. Le rythme imposé devant était très rapide, j'étais à 80-85% de ma fcmax dans les 10 premiers km ce qui est bcp sur cette distance. Au bout d'une heure on avait déjà fait plus de 13,5 km. La question était alors la suivante : pourrais-je tenir le rythme jusqu'à la fin où allais-je griller mes cartouches plus rapidement ? Comme pendant bien 16 km de course j'avais un groupe de 5 coureurs devant moi, en vue à 20-50 m devant, j'essayais du mieux possible de les garder en ligne de mire. Quand ils couraient dans les montées, je me disais qu'elles bandent de #%*, tellement je voulais marcher, mais comme je voulais rester accrocher je faisais pareil. Sur le plat, je ne perdais pas de terrain, en descentes non plus, mais dans les montées, c'était pas facile, pour ne pas dire que j'en ch... grave.

Finalement, ce groupe à exploser quand 2 gars ont accéléré. J'ai rejoints un des 5 dans le fameux M, il m'est ensuite repassé devant et on a rattrapé 3 gars, assez grillés dans la toute dernière côte : une petite relance à 10 m de la fin de côte, ça a pas suivi :-) J'ai tenu un poil plus qu'eux, pour finalement arriver 6ème. Conclusions : très content d'avoir privilégié les chaussures de route sur ce terrain plutôt que les trails, les cross m'ont donné de la puissance sur plat et dans les relances, j'ai pas fait assez de séances de côtes, hyper content des sensations et d'avoir tenu le rythme durant 24 km.

 

Arnaud (2h27)

 

Très beau trail, très sympa, bonne expérience, tout en gestion. Pas si dur que cela en fait. (Sans rire).Précisons qu’initialement Arnaud voulait courir le 42km, c’est ballot…

 

Romain (2h47)

 

Je voulais faire moins de 3h, je suis parti avec Arnaud, cool, jusqu’à ce qu’il m’incite à rester à son rythme, devenu moins cool ;-) J’ai préféré continuer cool, à discuter avec les gens (ça me rappelle un semi de Rambouillet avec Brahim ça). L’organisation est bien. Là où je suis mitigé c’est sur le côté Cross de la course, je préfère le trail car on en moins dans la relance systématique après la montée, puis les descentes pour récupérer. En fait c’est un effort de type Cross mais dans un cadre sympa, donc c’est pas vraiment un trail (NB. rappelons que Romain sort de la Saintélyon, 72km et 1700m D+, et ça c’est un trail ;-)

 

Didier F. (2h48, 3e V3 sur 17 !)

 

Il flippait un peu avant de partir car le profil du parcours lui paraissait très difficile, avec beaucoup de montées et de descentes. Et finalement il a trouvé cela très agréable (tiens, comme Arnaud !), on prend le rythme de récupérer dans les descentes, … C’est le Club Med quoi ! Il est trop fort ce Didier, plus c’est dur, plus il courre bien.

 

Pierre G (2h49)

 

Encore une course qui fait se lever tôt : départ du stade à 7h pour un départ de course à 8h30. On se dit qu’on a le temps une fois sur place mais comme souvent, y’a des grains de sable dans les roulements : la liste des inscrits est classée par ordre alpha de prénoms… sauf pour les Asniérois qui sont en ordre alpha sur leur nom de famille. Du coup, petite flip pour récupérer nos dossards. Bref, on n’est pas garé à côté du départ, pas de consigne donc on se change au cul du camion, et pour finir c’est la queue aux toilettes (j’en sors à 20’’ du coup de pistolet).

Ça bouchonne un peu au départ sur une route bitumée qui grimpe déjà. Puis c’est la première descente et ça bouchonne encore. Bref il faut attendre 3km pour ne plus attendre à l’entrée des descentes. L’objectif c’est 3h max et les piétinements des flippés de la descente me chauffent un peu. Du coup je dévale à la première occasion et arrive à trouver ma place dans un trafic qui tourne à 9km/h. Au milieu du 8e, au bas d’une descente prise à toute blinde, le Coach trône, bienveillant. Au 12e c’est le ravito, mais je ne m’arrête pas, j’ai ce qu’il fait sur moi. Je suis à 1h15 de course et je me dis que si ça continue ainsi je vais finir en 2h30. Mais ça ne continue pas ainsi. La grosse montée nous attend, en plusieurs tronçons, avec des petites redescentes et plats montants pour « récupérer ». Du coup, à partir du 18e je commence à avoir les cuisses comme du bois (je n’aime pas freiner dans les descentes, c’est plus fort que moi). Les mollets chauffent vraiment, c’est peut-être la vraie difficulté de cette course. Le fameux M se pointe : vu d’en bas c’est impressionnant parce qu’on voir les coureurs monter très haut et descendre aussi sec sur une pente raide, puis remonter, puis redescendre, bref ça forme un M. On continue d’enchaîner les montées-descentes et mes mollets préféreraient un passage plat pour fonctionner correctement. Une fois les 20 bornes passées, la question arrive : c’est 24 ou 25km déjà ? y’a de l’intox dans le peloton, certains disent qu’il ne reste plus qu’une côte. En fait c’est 2, + la sympathique côtelette annoncée comme un faux plat montant par un juge de course qui croyait bien faire… Grâce à Marion on a su à 7h devant le stade que le dernier kilomètre était en descente (cf. l’illustration officielle) alors je l’attends de cuisse ferme et quand elle pointe son nez, c’est parti pour une belle dernière cavalcade et c’est l’arrivée sous l’arche.

Le Maxicross porte bien son nom : c’est un cross géant, avec de belles montées qui flinguent les mollets et des descentes très techniques, même sur terrain quasi sec (beaucoup de débris de bois, de cailloux, de racines, cachés sous les feuilles). C’est à faire au moins une fois car c’est rare d’avoir 1000m de dénivelé + à 30’ d’Asnières et l’expérience est très formatrice.

A l’arrivée y’a ce qu’il faut : potage, hot-dog (pain-knacki, on n’est à New-York non plus mais à Bouffémont on ne bouffe pas que des kilomètres), bière artisanale du Vexin (c’est la surprise promise, ça change du t-shirt) et l’arrivée progressive des Asniérois(es)…

On a réussi à faire une quasi-photo de groupe, manquaient juste Morgan et surtout Romain qui a eu la bonne idée de crever un pneu à l’aller et qui a improvisé une atelier démontage-remontage de roue de secours après la binouze du Vexin bien méritée…

 

Morgan (3h03)

 

Ça s’est bien passé mais c’est une course assez difficile. L’enchaînement des côtes pèse dans les jambes à partir du 17e avec encore de belles montées qui laissent des traces. J’ai eu un peu de mal à finir, heureusement que ça descend à la fin… RDV pris pour l’année prochaine !

 

Marion (3h21)

 

Un nouveau défi pour Marion, qui au bout d’un an de course à pied s’attaque direct au Maxicross, forte de son Ecotrail 18km de 2016. Mais c’est sans compter les 1000m de D+ qui font le charme de cette course. Bref, les 10 premiers km ont été durs et l’échauffement un peu long, mais grâce à la participation d’Isa, venue courir en voisine, et de Mus le galant, Marion a tenu le rythme, a eu de très bonnes sensations sur la 2e partie de course, et est arrivée fière d’elle-même (nous aussi on est fier de toi Marion !). A refaire donc.

 

Mus (3h21 aussi, il fait que copier sur Marion le galant-coquin)

 

Course difficile, terrain très accidenté, mais la prépa a permis d’aller au bout et de pas trop être dans le rouge. Heureusement que ce n’était pas gras, on a pu envoyer dans les derniers kilomètres…

 

Mimi (3h42)

 

Pour Mimi, cette course était un entraînement dans l’optique du Trail du Ventoux (le 26km à 1200 D+ ou le 46km à 2000D+ ?). Les 10 premiers km ont été difficiles (encore une qui copie sur Marion, ça devient pénible), et les 15 suivants à la cool. Il en faut un peu plus pour fatiguer l’infatigable petite souris…

 

 Et les impressions des coureurs du 10 km :

Jean-François (1h00) et 7 secondes

 

J’ai fait 1h 7 seconde. Je voulais faire moins d'une heure !

 Départ rapide que j'ai payé en particulier dans les 2 montés.

Très bel après midi, très agréable parcours dont certains passages déjà vus.

 

Madeleine (1h10)

 

(Trop forte notre Madeleine, elle court vite pour nous narguer avec une bière à l’arrivée et mais aussi pour nous pousser !).

 

Eugénie (1h20)

 

Très bonnes sensations au départ, mais au bout du 5ème kilomètres les côtes commencent à avoir raison de moi… Je ralentis un peu, mais ne lâche rien.

En haut de la dernière côte, je me fais rattraper par Amani qui me redonne un coup de pêche (Merci !).

Bonne accélération sur le dernier kilomètre, et au final une arrivée très attendue :)

 

Amani (1h20)

 

Le parcours du 10km du maxicross nous surprend d​è​s le début avec un départ un samedi à 14:00 !​ Oui, ​​mais sous un grand soleil ;)​

 

Je cours les premiers kilomètres avec Cécile et Anna. 

Nous sommes très rapidement à l’arrêt à cause de chemins très étroits ou bien barrés par des troncs d'arbre qu’il fallait enjamber​, par des grandes flaques d'eau à traverser.

​C​e n'est qu’après ces quelques passages ​que l'on est dans le cross, ça monte, ça descends, ça monte et ça descends encore ! 

Le "terrain de jeu" est assez amusant et le paysage très sympa (mais on connait un peu). 

Au 6ème kilomètre, ​j'ai un coup de mou, ​je n'a​i ​plus vraiment de force dans les cuisses, j'applique ce que j'ai appris jusqu'à ici : boire, reprendre son souffle, monter en prenant appui sur ses cuises, la relance ​est malgré tout assez difficile mais j'arrive à tenir jusqu'à me retrouver à courir aux côtés d’Eugénie avec qui je termine la course​.

A l'arrivée Madeleine crie nos noms et nous poussent à piquer un sprint ;) Énorme !

​Finalement je sprinte (j'en avais encore dans les jambes !).​

 

Le mot ​de la fin ​ou plutôt​ le cadeau du finisher​ : la bière du Vexin ! 

​​Prête pour le maxicross 2018 ;)

 

 

Cécile (1h22)

 

Grace au beau temps, on a pu faire le maxi cross dans de bonnes conditions. Même si le parcours était très technique, les encouragements des bénévoles nous ont accompagnés. Contente d'avoir terminé le parcours ! On s'est dit que finalement on recommencerait bien. Une bonne bière nous attendait à l'arrivée. L'ambiance était super. On a passé un bon moment.

 

Anna (1h24)

 

Beau parcours, bien varié (j'ai beaucoup aimé le passage sur les troncs d'arbres), très technique et beaucoup de relances. Mon souvenir le plus important reste quand même Madeleine qui me tend une bière devant le nez sur les derniers 100m  :)

 

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