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Egal à lui-même, le Trail du Josas nous a encore ravis par sa bonne
organisation, ses buffets et sa paella copieux, sa bière pression Licorne à
l’arrivée, sa bonne ambiance, ses parcours à rallonge, ses ruptures de stock de
t-shirts homme tailles normales, et sa météo radieuse.
Nous étions 7 femmes et 4 hommes (c’est rare sur une course club, on
réclame la parité absolue pour la prochaine !) et une majorité à vouloir
affronter le 20km, enfin le 22km, plus exactement 22km790m selon Garmin. Le
12km a lui aussi connu une certaine inflation, comme l’année passée, et passe à
14km et même 14km800 selon Cécile : c’est le contrecoup du 1er avril, on croit que c’est une blague mais en fait c’est vrai.
Une fois fait le gros câlin avec la mascotte du coin, y’a échauffement en
musique avec un duo de coaches sur la scène, agrémenté d’une intruse d’à peine
10 ans qui répond au doux nom d’Hermine, adhérente elle-aussi d’Asnières
Athlétisme (bref, c’est ma fille). Et elle a fait les 2 séances (pour les
coureurs du 20-22 et du 12-14).
C’est l’heure du départ pour le 20-22, et 45 minutes plus tard pour le 12-14. Voici les impressions de chacun(e) ou presque :
Sur le 12-14km :
Madeleine (1 :36 :36) et Charlotte (1 :38 :01) étaient contentes
de courir non loin de Marion, se rassurant ainsi que leur niveau en course à pied.
Madeleine a adoré l’échauffement ave Hermine (ces deux-là…) et Charlotte a
bénéficié des qualités de nounou-lièvre de Madeleine : et que j’te donne
du sucre, de l’eau. Elle aimerait juste que le Club fournisse les transats pour
profiter à fond du soleil à l’arrivée.
Cécile (1 :53 :50) est contente
d’avoir terminé cette course à rallonge, c’était probablement sa plus longue
distance jamais courue. La paella lui a donné l’idée d’aller tutoyer des
distances plus ambitieuses (y’a un 18km le samedi 20 mai à Auvers sur Oise…).
Marion (1 :36 :14 ) l’a joué tranquille
car elle prépare une méga-plus grosse course dans le Jura. Elle a quand même
trouvé le moyen d’avoir un problème au pied, ce qui l’a obligé à s’arrêter
avant de repartir de plus belle et se classer dans le top 13 de sa catégorie
(c’est comme ça qu’on dit quand on est 13e ;-)
Sur le 20-22km :
Sur cette distance jamais testée auparavant mais qu’elle compte bien
continuer à bosser sérieusement, Amani (3 :00 :22) a
eu un peu chaud (le soleil n’a pas attendu l’arrivée pour se pointer). C’est
sans conteste le plus beau trail qu’elle a couru jusqu’à présent (elle dit cela
à chaque fois, vivement le trail du Vieux Lavoir le dimanche 25 juin !).
Elle a fait les 20 premières bornes avec Manon, puis Manon a sorti les ailes.
Bref, Amani adore cette course, sauf la rallonge kilométrique, et elle compte
bien traîner l’organisation devant les tribunaux compétents
(prud’hommes ?).
Mimi (2 :46 :27) a arrêté de compter
les trails depuis belle lurette, son palmarès est impressionnant. Du coup, elle
va « faire un break et se reposer » de tous ces kilomètres avalés,
dit-elle le regard pétillant et prêt à parcourir l’agenda des trails du mois de
mai…
Manon (2 :58 :50) a beaucoup aimé le
parcours bien qu’elle a accusé le coup sur la fin (malgré ses ailes déployées).
La bouche emplie de la succulente paella, elle n’a pu se confier davantage sur
cette course mémorable.
Morgan (2 :24 :09) ne s’en cache pas,
il est venu pour la paella, le soleil et le bon moment avec les copines du
Club : « vivement le resto du 3 mai, j’ai appris que le club payait
l’apéro et le dijo ». Proche de l’arrivée, Morgan a bénéficié du soutien
de Madeleine pour tenir l’allure et finir en beauté (Madeleine est une nounou
d’enfer, Seb vous le racontera en détail lors de la soirée pizzeria au retour
des vacances).
Didier F. (2 :11 :09)
avait déjà brillé sur le Maxicross de Bouffémont et il en a remis une couche au
Josas. Seulement, c’était sans compter une étourderie dans le suivi des
balises : il s’est offert de luxe d’un petit détour de 600m qui, hélas,
lui a coûté sa place sur le podium M3. Doyen de cette délégation asniéroise, il
termine 1er/11, et rien que cela mérite notre immense respect !
Pour dire à quel point c’est facile pour lui, il a eu l’impression que la route
descendait plus souvent qu’elle montait…
Pour ma part, Pierre G. (2 :15 :16)
j’ai eu l’impression de revivre mon début de saison sur les 20km de
Paris : départ un peu rapide (c’est idiot, j’ai voulu suivre Didier F.),
jambes fatiguées à mi-course, avec en prime un gadin qui m’a achevé le moral.
Heureusement que la très jeune assistante-coach du début m’attendais à 150m de
l’arrivée pour me tracter jusqu’à l’apéro.
Signé : Pierre G.
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